segunda-feira, 30 de abril de 2012

     Publico aqui, mais uma historia infantil da minha autoria, espero que apreciem... escritas em Português, Francês e Alemão.

Maria Marco e Geraldo 

  Estávamos numa bela tarde, quente e límpida, no princípio de um Verão calmo e abafado, enquanto um jovem macaco saltitava de ramo em ramo. Sentia-se felicíssimo, a sua jovem esposa acabara de dar à luz um lindo casal de gémeos.

  Esse jovem macaco, que não cabia em si de contente e nada era demais para dividir a sua alegria. Chamou então, todos os seus amigos dessa pequena selva, ao reunir sobre a mesa todos os mantimentos e bebidas, que encontrou, pois tinha acabado de ser pai.

  Entre os seus amigos e vizinhos existia, também, um elefante bebé que se chamava Geraldo, o qual, se perdera dos seus pais, sendo por essa razão, que ficou a viver juntamente com eles.

  Maria e Marco, além de serem os nomes escolhidos por eles, eram também, os nomes de seus pais, e aqueles que descendiam de geração em geração.


   Os dias passaram e Geraldo, como habitualmente, ia sempre ao encontro dos macaquinhos, para passear com eles, nas suas costas, protegê-los, ou ajudá-los a apanhar bananas, amendoins e todos os frutos que eles tivessem vontade de petiscar.

  Numa manhã, Geraldo acordou com algumas horríveis dores de barriga e uma tremenda indisposição. Mas mesmo assim, ele não quis faltar ao seu compromisso, como todos os dias, com os macaquinhos.

  Passados alguns minutos, quando Geraldo chegou junto deles, viu que algo se passava. Pois o rosto deles estava inchado e esquisito.
  - Ai, Dói-me tanto aqui, até me custa abrir a boca… dizia Maria ao pôr a mão na cara.
  - A mim também, não sei o porquê, mas tu não pareces melhor!… dizia Marco.

  - Pois não, acordei com uma indisposição horrível, alguma coisa que comi e não devia. Disse Geraldo, enquanto os ajudava a subir para cima das costas e irem passear como normalmente faziam.

  Mas, alguns passos, mais à frente, Geraldo sem aguentar o peso do seu corpo, deixou-se cair.

  Quase desfaleceu, e o seu corpo pesado caiu por cima das pernas, demasiado frágeis e desprotegidas, de Maria e do irmão. Marco, quando se deu conta, da triste tragédia, que acabara de lhe acontecer gritou, ao chamar imediatamente seus queridos pais.

 Quando, os seus pais, se aperceberam do sucedido, logo se apressaram ao chamar o único médico presente, naquela maravilhosa selva.

  Foi assim que foram transportados, para o hospital, nas asas de uma linda cegonha.

  Eles mereceram a sincera amizade e respeito, de todos, ali presentes, pois eram os únicos a ter um elefante como irmão e eles sentiam orgulho nisso.

  Geraldo, depois de fazer um exame à barriga, ficou a saber que a causa dessa má disposição se devia ao facto de ter comido demasiadas bananas. Pois ele aprendeu a gostar do sabor e a apreciá-las, como os seus amigos, os macaquinhos.

  Maria e Marco, depois de abrirem a boca, também ficaram a saber o diagnóstico, tinham alguns dentes partidos, por que comeram demasiados amendoins, algo bastante duro para os seus dentes tão fracos.  

  No dia seguinte, Geraldo acordou com o barulho daquelas duas vozes bem conhecidas.

  Maria e Marco regressavam a casa, pois seu pai tinha acabado de chegar, para os levar.

  Eles aprenderam que tudo se deve consumir com moderação, mas também que em tudo e para tudo existe um limite, ou seja, nada de exageros.

                   Marie Marc et Gérard
       

 On était en plein après-midi, c’était une chaude et belle journée d’été. Un jeune singe jouait tout content, il sautait avec grande satisfaction, de branche en branche… car sa petite femelle venait tout juste d’accoucher.
  Alors, rempli de joie, il a tout de suite appelé ses amis et ses voisins pour fêter cet heureux événement. Il y avait, parmi ses amis, les singes, et un petit éléphant qui avait perdu ses parents et, qui justement pour cette raison, habitait avec eux.
  Marc, comme il s’appelait, voulut vite rassembler sur sa table, toutes les bananes,  tous le reste de cacahuètes et quelques autres fruits. Il a rassemblé aussi, quelques boissons qu’il voulait offrir, puisque rien n’était jamais de trop pour partager leur joie.
  Sa petite femelle était bien ainsi que leurs enfants, des jumeaux, qu’ils ont eu le bonheur et le plaisir d’accueillir dans ce monde.
  Marie et Marc, les prénoms choisis pour ses petits, étaient aussi les prénoms de leurs parents, et aussi ceux de leurs descendants de famille en famille.

  Après quelques jours, Gérard, le petit éléphant, qui était devenu le meilleur ami des petits singes, s’est réveillé avec l’étrange compagnie de douleurs à son estomac et aussi avec une indisposition. Il avait fait un grand effort pour ne pas manquer le rendez-vous avec ses amis, les singes, qui l’attendaient comme d’habitude.
  Lorsqu’il arriva, très malade, il rencontra Marie et Marc. Mais il se rendit compte, que eux aussi avaient un problème de santé, car leurs visages étaient un peu gonflés.
  -« Mais, qu’est ce qui s’est passé ?  Avez-vous mal ? Que vous est-il arrivé ? » Demandait Gérard avec une inquiétude qui se lisait dans ses yeux.
  -J’ai très mal aux dents ! Disait Marie qui caressait son visage, avec sa main.
  - Moi aussi, je ne sais pas pourquoi ! Disait Marc ! Mais tu ne sembles pas bien, non plus.
   -J’ai horriblement mal au ventre, quelque chose que j’ai mangé et je n’aurai pas dû ! Répondait Gérard en caressant son ventre.         
  Mais, malgré sa douleur, il voulut les promener sur son dos, comme il faisait tous les jours pour les aider a ramasser les  bananes, tout ce dont ils avaient envie, y compris aussi se percher dans les branches.
  Vite, la fatigue et ses douleurs remplirent son corps et ainsi, Gérard perdit ses forces et il se laissa tomber par terre.
  Marie et Marc crièrent tout de suite pour appeler leurs parents. Car ils eurent trop peur… le poids de l’éléphant avait un peu blessé ses pattes, puisqu’il était tombé en plein sur eux!
  Ses parents, quand ils virent ce spectacle, appelèrent vite le médecin qui travaillait dans ce merveilleux jardin. Alors, comme ça, ils furent transportés, sur les ailes d’une cigogne, à l’hôpital.

  Après avoir fait les examens, au ventre, Gérard a su, que son indisposition, venait des bananes dont il avait trop mangé et qu’il avait appris à aimer avec ses amis, les singes.
  Marie et Marc ont, aussi, ouvert leur bouche, pour vérifier leurs dents. Ils ont compris qu’ils avaient quelques dents cassés, tout ça à cause des cacahuètes, trop dures, qu’ils ont mangé avec leurs dents trop faibles.
  Ils étaient heureux parce qu’ils avaient conquis l’attention de tous. Dans ce sympathique hôpital, ils avaient même oublié les problèmes qu’ils avaient eus, celui de s’être tordus les chevilles.
  Marie et Marc sont devenus les plus célèbres, car ils étaient les seuls à garder précieusement le grand plaisir d’avoir un éléphant comme frère.

  Le jour suivant, Gérard, le jeune éléphant s’est réveillé avec le bruit et les voix des petits singes, simplement, parce qu’ils s’en allaient.
  Leur père est venu les chercher et ils furent très contents, mais aussi un peu tristes, car ils allaient se séparer des petits amis avec qui ils avaient fini par partager une belle amitié.
  Mais ils ont aussi appris cette leçon : de ne jamais trop manger ni mélanger les choses, puisqu’il y a toujours une limite, en tout et partout…


                  Marie Marc et Gérard

     Es war an einem schönen, warmen Sommernachmittag. Ein kleiner Affenjunge spielte ganz zufrieden und sprang mit grosser Lust von Ast zu Ast. Sein Weibchen war hochträchtig und kurz vor der Geburt eines Jungen.

  Voll Freude rief er sofort seine Freunde und Nachbarn zusammen, um das kommende glückliche Ereignis zu feiern. Bei den Affen wohnte ein kleiner Elefant, der seine Eltern verloren hatte und deshalb mit ihnen lebte.

  Marc, so hiess der kleine Affe, sammelte auf seinem Tisch rasch alles an Bananen, Resten der Erdnüsschen und einigen anderen Früchten zusammen. Er hatte sogar etwas zu trinken geholt, das er den anderen anbieten wollte. Nie war ihm etwas zuviel, wenn er damit er den anderen eine Freude bereiten konnte.

  Sein Weibchen und seine beiden Kinder, Zwillinge, waren glücklich und zufrieden und allseits gut aufgenommen in der Welt.

  Marie und Marc, so hatten die Eltern – nach sich selbst  und den Vorfahren von Familie zu Familie - sie genannt.

Gérard, der kleine Elefant, war der beste Freund der kleinen Affen geworden.

  Eines Morgens erwachte er mit Magenschmerzen, und es war ihm schlecht. Er raffte sich aber mühsam auf, damit er sich mit seinen Freunden, den Affen, treffen konnte, die wie immer auf ihn warteten.

  Als er schliesslich kam, sehr krank, traf er auf Marc und Marie, die auch nicht ganz auf dem Damm zu sein schienen, ihre Wangen waren ein wenig geschwollen.

 „Aber was ist denn geschehen? Geht es euch nicht gut? Was habt ihr?“ fragte Gérard, und grosse Beunruhigung war in seinen Augen zu lesen.

 „Ich habe fürchterliche Zahnschmerzen!“ sagte Marie und hielt sich die Wange.

 „Ich auch“, sagte Marc, „und weiss nicht warum!  - Aber dir scheint es auch nicht grade gut zu gehen.“

„Ich habe fürchterliche Bauchschmerzen, ich muss irgendetwas gegessen haben, das ich nicht hätte essen sollen.“

  Trotz der Schmerzen wollte er, dass die beiden auf seinen Rücken stiegen, um ihnen zu helfen, Bananen zu pflücken, was ihnen sonst - neben dem Sitzen in den Ästen -grossen Spass machte.
   Aber schnell verliessen Gérard wegen seiner Schmerzen die Kräfte, und er musste sich auf den Boden plumpsen lassen.

  Dabei verletzte der Elefant die Geschwister an den Beinen, weil er sie bei seinem Sturz gestreifte. Marie und Marc riefen sofort nach ihren Eltern, denn sie hatten grosse Angst.

  Als die Eltern das Unglück sahen, riefen rasch nach dem Arzt, der in derselben wunderschönen Gegend lebte. Ein Storch brachte die beiden dann rasch auf seinen Flügeln ins Krankenhaus.

  Nachdem Gérards Bauch untersucht worden war, erfuhr er, dass es ihm von den vielen Bananen, die er gegessen hatte, so schlecht war; er hatte sie dank seiner Freunde, den Affen, schätzen gelernt.

  Im Krankenhaus stellte man fest, dass Marie und Marc sich den Knöchel verstaucht hatten.

  Sie mussten auch die Zähne untersuchen lassen. Sie hatten einige Absplitterungen, weil sie mit ihren noch schwachen Zähnen zu harte Erdnüsse geknackt hatten.

  Trotzdem waren sie glücklich, weil sie die Aufmerksamkeit aller hatten und vergassen im sympathischen Krankenhaus ihre Probleme beinahe.

  Ja, Marc und Marie, wurden sogar berühmt, weil sie das grosse Glück hatten, einen Elefanten zum Bruder zu haben.

  Am folgenden Tag erwachte Gérard, der kleine Elefant, vom fröhlichen Lärm der Stimmen der Affen, sie freuten sich, weil sie aus dem Krankenhaus entlassen wurden.

  Ihr Vater war gekommen, sie abzuholen und sie waren einerseits überglücklich darüber, andrerseits auch ein wenig traurig, weil sie sich von den neuen Bekannten in der Klinik trennen mussten, mit denen sie rasch Freundschaft geschlossen hatten.

Aber sie hatten auch gelernt, dass man nicht zu viel essen und nicht zu viel wollen sollte, weil alles seine Grenzen hatte, alles und überall …





segunda-feira, 23 de abril de 2012

O PERFEITO DO IMPERFEITO parte 34


Filipa recusava-se a pensar no pior, tentava ignorar o que de mais terrível surgisse na sua memória. Queria e desejava ultrapassar esta fase. Simplesmente ela ambicionava encontrá-lo para seguir o seu sonho.
   Mas no fundo ela também sabia que nada seria como antes, se ele voltasse talvez a ferida cicatrizasse, mas a dor permaneceria lá. No fundo nem os seus sentimentos seriam iguais. Filipa só queria saber o porquê daquela fuga misteriosa.

   Os dias e os meses foram passando, só não passava a mágoa e a agrura que ela sentia e armazenava em todos os sentimentos.
   O Verão estava de novo a chegar e com ele chegou também um pouco da leveza e clareza dos seus sentimentos e a certeza de não voltar a amar como da última vez.
   Foi numa dessas manhãs quando, à sua frente seus olhos avistaram a pessoa responsável pelo desinteresse do seu futuro. Ele estava ali e sorriu-lhe dirigindo-se lentamente na sua direcção.
   Filipa não queria acreditar no que os seus olhos lhe transmitiam, mas ao mesmo tempo desejava ansiosamente que acontecesse. Ela precisava saber as respostas às suas perguntas, há muito pretendidas.
   -Perdoa-me, antes de mais… Tive tantas saudades tuas!!!
   Dizia ele ao abraçá-la fortemente.
   Antes que Filipa tomasse fôlego para pronunciar algo… ou simplesmente recusasse essa intimidade inesperada… beijou-a loucamente. E Filipa correspondeu, fosse o que fosse que tivesse desencadeado esse obstáculo, não importava mais, ele agora estava ali e amava-a. Ela pressentia tais factos, seria por essa simples razão que ele voltou?
   -Que se passou, porque desapareceste tão subitamente, durante tanto tempo?
   - Vem, sentar-te! Vou-te contar tudo!...
   Paulo contou-lhe a verdade sim, mas o conteúdo era muito mais grave do que o que ela alguma vez tinha pensado…
   Paulo tinha a mesma idade que ela, ou seja quase vinte cinco anos, e desde os treze vivia no mundo da tráfico de droga e toxicodependência. Filho de pais separados, sem lhe oferecerem o mínimo apoio, convivendo constantemente com os seus fantasmas e ilusões. Sempre conservou o seu lado atraente, e por tudo isso, eram poucas as pessoas que testemunhavam o lado mais obscuro da sua vida. Com esta idade o vício da droga tinha-se apoderado dele. Por isso foi parar à prisão, pela segunda vez, sendo esse o motivo do seu sumiço. …
   - Sabes que eu vivia na expectativa e na dúvida de te contar a verdade ou te deixar na incerteza! Diversas vezes comecei a escrever-te uma carta, com o intuito de me perdoares, mas depressa a rasgava, a coragem faltava-me, pois nem eu próprio sabia como começar. Mas com a vinda do Santo padre, eu consegui a absolvição… e foi como se recebesse um sinal afirmativo, então jurei para mim mesmo contar-te a verdade, mesmo se depois de saberes a realidade me recusasses. 
   Mostrou-lhe uma enorme força de vontade ao querer desistir da vida passada, sentiu que queria reconstruir algo novo juntamente com ela. Filipa confiou plenamente nele. O véu da segurança e confiança fazia-se notar.
  - Graças a ti, que me mostraste o lado positivo da vida, e isto porque te amo!...
  - Eu também te amo… mas tenho muito medo… e tu vais ter que escolher entre mim e o vício!...
  - Claro que te escolho a ti, não te quero perder outra vez… pretendo encaixar-me contigo no bom sentido da vida… ou melhor, ambiciono que a minha vida faça sentido… ao teu lado!
   Filipa acreditou, mas o receio continuava a acompanhá-la constantemente.

   Filipa viveu o ano mais feliz da sua vida, e inclusivamente o mais preenchido. Filipa e Paulo conviviam muito um com o outro, a confiança e a segurança que ele lhe transmitia reinava, obrigando-a a ceder acreditando plenamente em tudo que ele lhe transmitia, mesmo sem ter provas concretas ou palpáveis, expulsou o lado negativo do seu coração e deixou a satisfação encher de novo todos os sonhos optimistas.
   Paulo falou-lhe do horror que já testemunhou, do pavor que já viveu e recusava-se a passar por tudo novamente. Deu-lhe a entender que estava quase em fase de tratamento. Nesse momento ela deu-lhe todo o apoio moral e possível ajuda.
   Quis oferecer-lhe inclusivamente um anel de noivado, o qual Filipa recusou, pois deu-lhe a entender, ser ainda cedo para tal, o receio ainda não a largara, a força de vontade emanada dele, faziam-na permanecer na dúvida…
   O principal motivo era, o sentir-se amada exactamente como era e pelo que era, mas também o de amar, como nunca pensou ser possível.
   As diferenças já preenchiam custosamente todo o seu corpo. Seria essa a principal razão de Filipa amar também alguém diferente? Seria porque essa pessoa compreendia a mágoa, o sofrimento e a dor da diferença e da rejeição?

   Passado um ano, Filipa ficou pela segunda vez sem nenhum contacto de Paulo. Mas como já era conhecedora da cruel verdade… sentiu muita pena por ele ter deixado fugir a coragem… viu o seu sonho despedaçar-se e o lado positivo do seu coração ficar de novo na escuridão.
   Ao fim de oito dias, recebeu uma carta de Paulo, na qual ele lhe implorava perdão e lhe pedia uma resposta a essa carta, fosse ela qual fosse!
   Filipa respondeu-lhe dizendo-lhe a dura verdade, aquela ditada pelo seu coração, aquela que qualquer pessoa dispensava ouvir, mas também aquela resultante do tormento:
   “- Paulo, por muito que se queira algo, não basta, temos que fazer com que isso valha a pena, e tu foste incapaz. Sei que não me mentiste, deixaste-me acreditar em ti, mas… infelizmente… falhaste… transformaste a minha pouca vontade de viver num completo desgosto e num autêntico fracasso. O único sentimento que ainda broto por ti é pena… pena por seres um falhado, pena porque deixaste evaporar a coragem que ainda emanava de ti.

quinta-feira, 19 de abril de 2012

PENSAMENTO POSITIVO


FORMA DE PENSAMENTO "POSITIVO"
Um dia apanhei um táxi para o aeroporto.
Estávamos na faixa certa, quando, subitamente um carro preto saiu do estacionamento e ficou à nossa frente.
O taxista travou bruscamente, deslizou e escapou de bater no outro carro. Foi por um triz!
O motorista do outro carro sacudiu a cabeça e começou a gritar nervosamente.
O taxista apenas sorriu e acenou-lhe, fazendo um sinal de positivo, de uma forma bastante amigável.
Indignado perguntei-lhe:
-   Porque fez isso? O sujeito quase bateu no seu carro e quase nos enviou para o hospital!?
Foi quando o motorista do táxi me ensinou o que eu agora chamo de: "A Lei do Camião de Lixo."
Explicou-me que "muitas pessoas são como camiões de lixo". Andam carregadas de lixo, cheias de frustrações, de raiva, traumas e desapontamento. À medida que as pilhas de lixo aumentam, precisam de um lugar para descarregar, e às vezes descarregam sobre nós. Nunca tome isso como pessoal! Não é um problema seu! É dele! Apenas sorria, acene, deseje-lhes sempre o bem e vá em frente. Não transporte o lixo de tais pessoas nem o espalhe sobre outras no trabalho, em casa ou nas ruas. Fique tranquilo(a) ... respire e deixe-o passar. O princípio disto é que "pessoas felizes não deixam os camiões de lixo estragarem o seu dia.
" A vida é muito curta, não leve lixo consigo! Afaste os maus sentimentos, aborrecimentos picuinhas do trabalho, pessoais, ódio e frustrações. Ame as pessoas que o(a) tratam bem. E trate bem as que não o fazem. A vida é dez por cento do que faz dela e noventa por cento da maneira como a recebe!
Tenha um bom dia e lembre-se: Livre-se do lixo!Não é fácil, mas com o tempo aprende-se como fazê-lo.

segunda-feira, 16 de abril de 2012

 Da janela de meu quarto espreito o"mundo" lá fora, depois pensei;
Se o dia lá fora te parece cinza, pinta-o cá dentro de azul!"


CONVIDO-OS A VER UM FILME... CLIQUE AQUI...

sábado, 14 de abril de 2012

POEMA DE MINHA AUTORIA


                                   AMOR



O amor é…
Grande, forte e louco mas nasce simples e banal
Cego e surdo mas também honesto e leal
Amar é…
Transformar sentimentos turbos
Em atitudes brilhantes e surpreendentes
Amar…
Não são só palavras que se gastam ao acaso
È ajudar e respeitar tudo o que está em seu redor
È detestar o ódio e o egoísmo
È algo que se sente ao abraçar
Algo que se diz ao sorrir
Porque tudo se lê no olhar.




               APAGAR



Amanheceu…
No meu rosto sinto ainda a marca
Deixada pelas lágrimas
Que ontem deixei sair,
Vejo a tristeza estampada no meu rosto
E restos de solidão e angústia
Deixadas pelo desejo de um simples olhar
Que o orgulho das palavras destruiu
Mas amanheceu…
A noite acabou
Preciso apagar o que ontem passou…



quinta-feira, 12 de abril de 2012

ELOGIO




Terapeutas que trabalham com famílias, divulgaram numa recente pesquisa
que os membros das famílias estão cada vez mais frios e distantes.
O carinho é cada vez menor, não se valorizam as qualidades e facilmente se ouvem críticas.
As pessoas estão mais intolerantes e desgastam-se na valorização dos defeitos dos outros.

 
Por isso, as relações de hoje não duram como outrora.


A ausência de elogio está cada vez mais presente nas famílias.
Não vemos mais os homens a elogiar as suas mulheres ou vice-versa,
não vemos os chefes a elogiar o trabalho de seus subordinados,
não vemos pais e filhos  a elogiar-se; etc.



Só vemos futilidades:  valorizam-se artistas, cantores, jogadores, pessoas
que usam a imagem para ganhar dinheiro e que, por consequência,
são pessoas que tem a obrigação de cuidar do corpo, do rosto,
das aparências.


A ausência de elogio afecta muito as pessoas e as famílias.

Há falta de diálogo nos lares.
O orgulho e a agitação da vida impede que as pessoas digam o que sentem.
 
Depois despejam-se essas carências nos consultórios.
 
Acabam-se casamentos, alguns procurando noutra pessoa o que não conseguem dentro de casa.


Vamos começar a valorizar as nossas famílias, os nossos amigos, alunos ou subordinados.

Vamos elogiar o bom profissional, a boa atitude, a ética, a beleza do parceiro ou parceira, o comportamento de nossos filhos.
  O bom profissional gosta de ser reconhecido, o bom filho fica feliz por ser louvado,
o pai e a boa mãe sentem-se bem ao serem amados e amparados.
O amigo quer sentir-se querido.

Vivemos numa sociedade em que cada um precisa do outro;
é impossível uma pessoa viver sozinha e sentir-se feliz.
Os elogios são forte motivação na vida de cada um.

quinta-feira, 5 de abril de 2012

O PERFEITO DO IMPERFEITO parte 33



   O Natal chegou mais uma vez, era um dia considerado pela maioria, uma festa familiar, para outros era simplesmente, uma data triste. Assim considerava Filipa que já não tinha ninguém para festejar.
    Francisca e Helena tinham os familiares reunidos, pelo menos um seus dos irmãos veio comemorar esta data com elas. Filipa também participou com optimismo, na companhia de todos eles. Mas a certa altura retirou-se, preferiu isolar-se com os seus pensamentos que a inundavam.

   Recordou-se que foi numa noite de festa como esta, num aniversário de Sofia, a única verdadeira amiga, numa noite fria de Janeiro, há exactamente nove anos, que viveu um dos momentos mais felizes e mais importantes da sua juventude. Tinha ela vinte e quatro anos.
   Foi o momento em que conheceu a pessoa que viria ocupar um dos lugares mais importantes do seu coração. Uma das pessoas que lhe traria as maiores tristezas mas também a maior felicidade.
   Porque era exactamente assim que Filipa julgava a vida… pagando bastante caro pelos poucos e breves momentos de felicidade… alugada… porque nada é nosso, nem é para sempre… somos apenas movidos e preenchidos por momentos carregados de emoções e sensações.
   Combinaram então, juntar um grupo de amigos para irem comemorar todos juntos a uma discoteca, no centro da grande cidade. Marcaram encontro numa esplanada, para depois seguirem.
   Não pôde deixar de reparar num dos rapazes mais vistosos e atraentes que ali se encontrava, era moreno e usava um sobretudo preto pelo meio das pernas, com a gola levantada talvez para se proteger do frio da noite.
   - Queres ajuda? Perguntou uma voz desconhecida bem perto dela.
   - Porque não? Obrigada. Respondeu-lhe ela, com vaidade e orgulho por ter despertado o interesse de alguém.
   Amparada ao braço dele, sentiu-se convencida e segura, assim seguiram caminho.
   Quando chegaram à discoteca, Paulo como se chamava, optou por se sentar junto a ela, conversaram de tudo um pouco…
   Ao chegar uma música calma, Paulo pediu-lhe que o acompanhasse à pista de dança, onde Filipa recusou dizendo-lhe que preferia ficar sossegada derivado ao seu desequilíbrio. Mas Paulo não se convenceu com esta desculpa e insistiu em levá-la a dançar.
   Como era uma música calmíssima ela encostou-se a Paulo e dançou apoiada nele.
   Nada fazia mais sentido, além da sensação de segurança que ele lhe transmitia. Como Filipa se sentia bem… nos braços de Paulo...
   De repente a música mudou de ritmo, mas eles continuaram agarrados, quando calmamente sentiu a mão dele no queixo, e levantando-lhe a cabeça beijou-a suavemente.
   Assim aconteceu com Filipa, foi o início de um lindo romance, até lhe custava a acreditar, sentia-se bem demais, tinha ela própria medo dos seus sentimentos.
   No dia seguinte, ele cumpriu com o que prometido, saíram iniciando um romance, talvez lindo demais para se enquadrar numa estranha realidade.
   Passados dois dias Paulo deixou de aparecer, nem deu mais nenhum sinal de vida, contradizendo tudo o que lhe tinha dado a entender. Filipa resignou-se facilmente. A verdade nua e crua estava ali, talvez demasiado complicada… pois as pessoas procuram tudo o que é mais fácil e o que está ao seu alcance… ignorando o restante. Porque se hão-de confrontar as pessoas com algo mais complicado? Se as respostas que pretendem estão ali mesmo ao lado? Pois se conseguem tudo facilmente porque é que se hão-de preocupar?

   Filipa desejava ter a força necessária para arrancar, despejar e desfazer-se de todas as mágoas que se amontoavam dentro do seu peito, referentes a essa pessoa que tocou tão profundamente no seu íntimo.
   Queria afogar com as suas lágrimas, todas as marcas deixadas por essa paixão tão grande e que foi tão fugaz. Pois cada lembrança que a sua memória ia buscar, lá estava ele. Paulo preenchia todas as recordações que surgissem nela.
    Então chorava para que ele regressasse e tudo não passasse de um pesadelo. Mas simplesmente ele não vinha, a realidade não lhe largava a porta, obrigando-a a ver o que seu desejo e vontade recusavam.
    - Paulo, onde estás tu? Volta para mim, diz-me o porquê deste silêncio? Seja o que for, prometo que vou tentar compreender-te? Deixa-me acreditar que ainda me amas como sou, que não me abandonaste, não me obrigues a pensar o que não quero?
  
   Mas nada, nem ninguém lhe dava um único sinal com sentido. Uma prova da sua certeza e especialmente de uma pessoa tão querida que ficou presa na sua memória e no seu coração. Aquele ser que lhe arrancou o pedaço mais profundo das suas emoções mais sensíveis.

quarta-feira, 4 de abril de 2012

O PERFEITO DO IMPERFEITO parte 32

   O medo do futuro derrubava todas as ideias fixas e ilusões que teimavam em germinar no íntimo de Filipa, juntamente com a insegurança continuavam em primeiro lugar, o lugar de destaque na lista de atitudes, emoções e sensações de sua vida. O desespero, a revolta e a tristeza só lhe traziam uma certeza cada vez maior:” que esta doença lhe traria cada vez mais limitações, e com isso a infelicidade, que não a deixaria em paz, nunca!”…


Aqui deixo mais  uma parte do meu livro...
Espero que gostem

segunda-feira, 2 de abril de 2012

POEMA DE MINHA AUTORIA

          Melancolia



Um sorriso disperso nasceu na doçura dos teus lábios sedentos pelos meus e que desejam fazer viver, para sempre, a felicidade que nos envolve.
Nas palavras escritas pela tua mão, ouço o eco da tua voz que me chama, mas o meu olhar encontra, somente, a tua ausência …
Ah, se eu pudesse! Escolhia o meu amanhã, onde tudo seria perfeito e real… Se eu pudesse decidir o que vem a seguir, mandava embora a melancolia do amor imaginado para viver na plenitude deste encantamento
Mas o ruído abafado das ondas desse mar infinito ultrapassa a canção, que meu corpo domina enquanto espera o teu regresso, e desperta em mim a frustração, do querer o impossível, mas a de viver enquanto o sonho dura
Nossos encontros são esses e unicamente esses, preenchidos pela magia que nos envolve… fecho os olhos e sinto o perfume do teu corpo… de repente, um ruído ao longe, mas demasiado real, me desperta…